Xavier Foucher – Prestations Coaching & Bien-Etre

Déontologie

Je suis certifié Hygiéniste-Naturopathe par l’Ecole UNIVERS Dargère, école reconnue par la FENA.

Entrepreneur individuel déclaré et assuré.

 

Le naturopathe est libre de pratiquer son art dans la mesure où il ne procède à aucun acte médical (diagnostic ou traitement de maladies).

 

La naturopathie n’est pas un « acte médical » (article L 4161-1 du Code de la Santé Publique).

 

En France, le naturopathe n’est pas une profession de santé.


Les naturopathes installés cotisent légalement aux différentes caisses. Ils sont assujettis à la T.V.A. en fonction de leur statut et bénéficient d’une assurance professionnelle.

 

La France reste l’un des derniers pays de l’Union Européenne à ne pas avoir intégré les médecines non conventionnelles, malgré la directive européenne Collins – Lannoye de 1997 ( ici ).

Il n’existe donc pas de diplôme d’État aujourd’hui en France. Seuls la qualité de l’enseignement, la durée des formations, et le respect éthique et déontologique, permettent d’orienter le choix de ceux qui souhaitent s’engager dans ce métier d’avenir.

 

Source : Fédération Française de Naturopathie : https://lafena.fr/federation-francaise-de-naturopathie/la-naturopathie/le-cadre-legal-en-france/

Le code de déontologie rassemble des principes éthiques et devoirs communs à l’ensemble des métiers du massage tels que définis par la Fédération française de massages bien-être.

Le massage bien-être est un accompagnement personnalisé, par le toucher, utilisant un ensemble de techniques manuelles pour favoriser, entretenir et optimiser le bien-être global du client.

Le massage bien-être constitue un univers professionnel spécifique. Il ne relève ni du champ du modelage et de l’esthétique, ni du champ du massage thérapeutique tel que défini par le code de la santé publique.

Le présent code de déontologie s’applique aux masseur·se·s, praticien·ne·s en exercice, ainsi qu’aux stagiaires en formation, aux formateur·trice·s et aux organismes de formation.

Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien-être fait preuve de bienveillance à l’égard de son client et de probité en toutes circonstances. Dans l’exercice de son art, il·elle prend en considération l’ensemble des spécificités physiques et psychologiques de son client.

Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien-être ne peut refuser de fournir des services à une personne pour des raisons de race, de sexe, d’orientation sexuelle, d’état civil, d’âge, de religion, de convictions politiques, d’origine ethnique ou nationale, de condition sociale ou de handicap.

Toutefois, et selon ses choix professionnels et sa formation, le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien-être peut se spécialiser dans une pratique ou un public. Cette spécialisation doit être explicite.

Dès lors qu’elle n’autorise pas un niveau satisfaisant d’analyse du besoin et des éventuelles contre-indications, la barrière linguistique peut constituer un motif de refus de la prestation.

Pour exercer, le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien-être doit être titulaire d’une formation d’un minimum de 300 heures et conforme au référentiel de compétences du métier. Ses titres professionnels doivent être tenus à la disposition de sa clientèle.

Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien-être informe son client de la nature de sa formation, de sorte à éviter toute fausse représentation de son niveau de compétences ou de la nature de ses services. Si la santé du client l’exige, il·elle lui propose de consulter un professionnel de santé.

Dans l’exercice de ses fonctions, le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien-être doit tenir compte des limites de ses aptitudes, de ses connaissances ainsi que des moyens dont il·elle dispose. Il·elle ne doit pas, notamment, entreprendre des services pour lesquels il·elle n’est pas suffisamment préparé·e ou formé·e. À ce titre, il·elle est en droit de refuser des services n’entrant pas dans son domaine de compétences. il·elle peut demander que son client lui produise l’avis favorable ou les recommandations d’un professionnel de santé.

Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien-être assure la mise à niveau de ses connaissances par un recours actif à la formation continue et à la veille professionnelle.

Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien-être s’engage à respecter son devoir de confidentialité en tout ce qui concerne les informations obtenues ou confiées par son client. S’agissant des informations médicales qu’ il·elle a à connaître, ou qui lui sont confiées, il·elle est tenu par le secret professionnel.

Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien-être organise son cabinet et l’accueil de ses clients de sorte à ce qu’il soit matériellement possible de respecter la confidentialité et le secret professionnel auxquels il·elle est tenu.

Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien-être ne peut aliéner son indépendance professionnelle sous quelque forme, ou quelque raison que ce soit. Il·elle ne peut servir un autre but que la qualité de sa prestation de massage dans l’intérêt de son client. Il·elle se doit de refuser de créer ou subir toute situation de conflit d’intérêt entre son activité de massage et toute autre pratique, professionnelle, commerciale ou autre.

Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien-être veille à ne créer aucune confusion entre la nature de son activité et toute pratique à caractère médical. Il·elle doit s’abstenir de poser des diagnostics d’ordre médical ou de commenter les avis et conseils des professionnels de santé. Il·elle ne peut en aucun cas garantir, directement ou indirectement, la guérison d’une maladie, d’une blessure ou de toute pathologie, ou abuser de l’inexpérience, de l’ignorance, de la naïveté, de la vulnérabilité ou du mauvais état de santé de son client.

Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien-être ne peut en aucun cas proposer des services d’ordre sexuel ou de nature à créer la confusion entre massage et prestation sexuelle.

Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien-être s’interdit tout prosélytisme et toute pratique à caractère religieux ou sectaire.

Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien-être ne saurait accepter une prestation pour un mineur sans le consentement d’un parent concernant les modalités et limites du massage pratiqué. Si le parent le souhaite, il peut être présent durant la prestation.

Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien-être doit établir une relation de confiance avec son client. Pour cela il·elle doit, notamment :

  • faire acte de transparence concernant ses techniques de massage bien-être et fournir les explications nécessaires à leur bonne compréhension ;
  • conduire un entretien préalable au massage de sorte à identifier et respecter les besoins et attentes du client. En cette occasion, identifier les précautions d’usage et possibles contre-indications ;
  • identifier et respecter les limites physiques, psychologiques et émotionnelles du client.

Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien-être ne doit en aucune façon porter atteinte au libre choix du client de faire appel à un autre professionnel de son choix. Il·elle ne doit pas inciter le client de façon pressante ou répétée à recourir à ses services.

Il·elle doit par ailleurs exclure tout ce qui pourrait constituer une manipulation psychologique de son client, qu’elle soit volontaire ou non, ni le conduire à faire des choix de vie ou de comportement.

Il·elle doit s’abstenir d’intervenir dans les affaires personnelles du client sur des sujets qui ne relèvent pas de sa compétence professionnelle.

Quel que soit le lieu où il exerce, le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien-être doit s’assurer que soient respectées les conditions indispensables à la qualité de sa prestation, à l’application des règles d’hygiène et au respect de la pudeur de son client.

Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien-être met en œuvre des protocoles et techniques en mesure de garantir l’hygiène et la sécurité sanitaire de sa clientèle.

Il·elle exerce dans le strict respect des standards professionnels et applique les mesures édictées par les pouvoirs publics. Il·elle peut refuser une prestation pour un client qui ne respecterait pas les règles.

Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien-être doit identifier et respecter les représentations et besoins pudiques de son client. Il·elle veille à ne pas faire pression sur celui-ci. Il·elle organise des modalités d’accueil, d’installation et de départ conçus de sorte à préserver l’intimité du client.

Quelle que soit la technique de massage qu’il·elle utilise, il·elle doit être en mesure de proposer une graduation de méthodes et outils de gestion de la pudeur adaptés aux attentes spécifiques de chaque client.

En réciprocité, un client ne saurait imposer sa propre représentation de la pudeur à son masseur bien-être, qui peut alors refuser de pratiquer la prestation.

Le·la masseur·se, praticien·ne en massage bien-être est tenu d’accueillir toute personne, sans distinction et conformément à son offre de massages. Il·elle est cependant en droit de refuser des prestations, ou toute situation, portant atteinte à son éthique et son intégrité physique et psychologique. Et notamment dans les cas suivants :

  • contrindication, ou suspicion de contrindication, pour la santé du client ;perte de confiance manifeste de la part du client ;
  • incitation de la part du client à l’accomplissement d’actes illégaux, injustes ou frauduleux ;
  • non respect des bonnes pratiques sanitaires et d’hygiène ;harcèlement, abus sexuel, et toutes sortes de violence psychologique, verbale ou physique de la part du client ;
  • si le client est sous l’effet de l’alcool, d’une drogue ou de toute substance illicite.

Source : https://ffmbe.fr/code-deontologie-metier-masseur-2/

La pratique du massage assis est définie comme suit : tout massage de bien-être et de relaxation, non médical, ni paramédical thérapeutique, généralement pratiqué sur chaise ergonomique.

 

Dès lors, je m’abstiens d’établir des diagnostics d’ordre médical ou paramédical.

Avant de commencer, je pose néanmoins des questions me permettant de définir je peux pratiquer mon art sans porter atteinte à l’intégrité physique du receveur.

Si tel n’est pas le cas, je refuse la prestation et dirige le receveur vers la personne compétente.

 

Je dispose d’une assurance responsabilité civile professionnelle.

 

J’agis toujours en professionnel·le.

Je communique sur la prestation que je fournis et en annonce clairement les modalités et le prix.

 

Tenue et présentation irréprochable, je veille au confort du receveur en pratiquant mon art dans un endroit adapté.

Je suis tenu·e à la confidentialité de l’identité du receveur ainsi que des propos qui auront pu être échangés avant, pendant ou après la prestation.

 

Je propose des prestations en conformité avec les bonnes mœurs excluant de fait la sexualité.

 

Source : https://www.fedefma.fr/page/1634732-deontologie#:~:text=La%20Fedefma%20%C3%A9tablit%20et%20%C3%A9dite,temporaire%20ou%20d%C3%A9finitive%20du%20membre.

Je suis Coach Intégratif et en Méditation de pleine présence certifié par l’Ecole Européenne de Psycho-Socio et Somato-analyse du Docteur Richard Meyer.

Je suis supervisé par un coach-formateur.

Entrepreneur individuel déclaré et assuré.

 

LE CODE ETHIQUE DE LA PSYCHOTHERAPIE, PSYCHANALYSE ET PSYCHO-SOMATOTHERAPIE de la Fed-eur-3psy.

Source : https://www.eepssa.org/wp-content/uploads/

 

LE-CODE-ETHIQUE-DE-LA-PSYCHOTHERAPIE.pdf

 

1. Exercer LEGALEMENT en étant déclaré comme professionnel (libéral(e) ou salarié(e)).

 

2. RESPECTER la dignité de la personne en traitement – En connaissant ses propres limites professionnelles. – En s’engageant à orienter la personne en traitement vers un autre praticien si besoin. – En mettant en œuvre une recherche de moyens qui tend vers l’autonomie et le mieux-être du patient ou client. – En respectant ses croyances religieuses, politiques, philosophiques. – Enn’utilisant aucune pratique, pression, de quel qu’ordre que ce soit, qui puisse mettre en péril l’intégrité du patient ou client (adhésion à un mouvement, une école, une communauté religieuse…etc).

 

3. S’INTERDIRE toute pratique sexuelle avec les patients ou clients et les élèves en formation.

 

4. S’INTERDIRE et INTERDIRE tout passage à l’acte violent.

 

5. Fixer les HONORAIRES avec tact et mesure et s’interdire toute exploitation matérielle et financière.

 

6. RESPECTER et faire respecter la règle de CONFIDENTIALITE.

 

7. GARANTIR le secret professionnel.

 

Contexte légal :

Je ne suis pas un professionnel de la santé mentale.

Ma démarche relève de l’accompagnement et de développement personnel, et non de guérison ou de traitement psychologique.

En France, les professions de psychologue, psychiatre et psychothérapeute sont réglementées et nécessitent des diplômes spécifiques et une inscription au répertoire ADELI.

Cependant, le métier de coach de vie ne l’est pas, ce qui signifie que l’exercice de coach sans être titulaire d’un diplôme de psychologie ou de psychiatrie est autorisé.